C'est sûr, c'est pas très vendeur comme titre, mais bon, toujours est-il qu'il n'y rien de bien trépidant à raconter.
La seule survivante du groupe de filles que nous avions rencontré sur Temple Bar est partie jeudi. Heureusement pour nous, elle nous a présenté avant son départ des collègues à elle : sa remplacante et sa voisine. La première fort mignonne, look assez branché sans être pétasse, qui malheureusement fume mais a des goûts musicaux très potables. L'autre est une toute petite nana, pas très jolie (elle a des faux airs à Madame Cavatorta pour mes camarades épitéens), mais qui n'est pas bégueule et du coup, on a sympathisé assez vite.
Samedi dernier, soirée dans un pub dansant dans lequel les trois donzelles et moi-même nous sommes déhanchés jusqu'à des 3h du matin (je me suis tapé, non pas l'une d'elle, mais une saloperie de torticolis à force de remuer mon corps). Nous nous sommes bien amusés.
Petite soirée tranquille le lundi, juste quelques coups de queues (nous sommes allés jouer au billard).
Mercredi, avant-veille du départ de l'intéressée, il était prévu de refaire la même que samedi soir, mais en pleine semaine, si Dublin n'est pas complètement mort, ce n'est quand même pas la folie du week-end. La majorité des pubs dansants dans lesquels nous avons l'habitude d'aller affichaient leurs pistes closes.
Petite anecdote, lorsque la fumeuse revient de dehors après avoir grillé son bâton de nicotine, elle nous ramène un spécimen assez intéressant. Un petit blondinet tout sec, l'air hagard, qui nous cause dans un super bon francais malgré un accent étranger qu'il n'arrive pas à masquer. Le zig, qui était soit ivre, soit shooté, soit les deux, nous colle à la jambe. Il s'en va chercher un verre et nous demande de garder... son sac! Un sac à main en forme de mouton en plus ('cule un mouton!). Rah! Le temps que cet énergumène chope son verre et nous retrouve (ce cher "monsieur" avait vraiment du mal), on se fout bien de la gueule du sac qui était quand même fort ridicule. On arrive finalement à s'en débarrasser (des deux).
Une fois dehors, nous nous rabattons pour tester un pub "Tchèque". Ambiance kitshissime avec un papier peint barriolé fluo, bas de plafond, peu éclairé. Ambiance encore plus glauque quand on voit la population: nous nous étions crus tombés dans une soirée échangiste pour gays... On boit quand même un verre, je fais un tour de piste pour faire plaisir à la future exilée, mais rien de plus. Un peu la soirée de l'échec... Surtout que l'autre tâche blonde efféminée nous avait suivi dans ce pub!
Aujourd'hui, après-midi emplettes après une grasse matinée bien méritée. Surtout des cadeaux en fait. Je suis tombé sur cet article dont je suis tombé amoureux de suite:
Pour les non-anglicistes: "La loi de Murphy / Rien n'est aussi simple qu'il n'y paraît / Tout prend toujours plus de temps que prévu / Et si quoique ce soit peut mal se passer / Alors cela se passera au pire moment possible."
Bon, plus qu'une semaine avant de rentrer. J'ai très hâte.
La seule survivante du groupe de filles que nous avions rencontré sur Temple Bar est partie jeudi. Heureusement pour nous, elle nous a présenté avant son départ des collègues à elle : sa remplacante et sa voisine. La première fort mignonne, look assez branché sans être pétasse, qui malheureusement fume mais a des goûts musicaux très potables. L'autre est une toute petite nana, pas très jolie (elle a des faux airs à Madame Cavatorta pour mes camarades épitéens), mais qui n'est pas bégueule et du coup, on a sympathisé assez vite.
Samedi dernier, soirée dans un pub dansant dans lequel les trois donzelles et moi-même nous sommes déhanchés jusqu'à des 3h du matin (je me suis tapé, non pas l'une d'elle, mais une saloperie de torticolis à force de remuer mon corps). Nous nous sommes bien amusés.
Petite soirée tranquille le lundi, juste quelques coups de queues (nous sommes allés jouer au billard).
Mercredi, avant-veille du départ de l'intéressée, il était prévu de refaire la même que samedi soir, mais en pleine semaine, si Dublin n'est pas complètement mort, ce n'est quand même pas la folie du week-end. La majorité des pubs dansants dans lesquels nous avons l'habitude d'aller affichaient leurs pistes closes.
Petite anecdote, lorsque la fumeuse revient de dehors après avoir grillé son bâton de nicotine, elle nous ramène un spécimen assez intéressant. Un petit blondinet tout sec, l'air hagard, qui nous cause dans un super bon francais malgré un accent étranger qu'il n'arrive pas à masquer. Le zig, qui était soit ivre, soit shooté, soit les deux, nous colle à la jambe. Il s'en va chercher un verre et nous demande de garder... son sac! Un sac à main en forme de mouton en plus ('cule un mouton!). Rah! Le temps que cet énergumène chope son verre et nous retrouve (ce cher "monsieur" avait vraiment du mal), on se fout bien de la gueule du sac qui était quand même fort ridicule. On arrive finalement à s'en débarrasser (des deux).
Une fois dehors, nous nous rabattons pour tester un pub "Tchèque". Ambiance kitshissime avec un papier peint barriolé fluo, bas de plafond, peu éclairé. Ambiance encore plus glauque quand on voit la population: nous nous étions crus tombés dans une soirée échangiste pour gays... On boit quand même un verre, je fais un tour de piste pour faire plaisir à la future exilée, mais rien de plus. Un peu la soirée de l'échec... Surtout que l'autre tâche blonde efféminée nous avait suivi dans ce pub!
Aujourd'hui, après-midi emplettes après une grasse matinée bien méritée. Surtout des cadeaux en fait. Je suis tombé sur cet article dont je suis tombé amoureux de suite:
Pour les non-anglicistes: "La loi de Murphy / Rien n'est aussi simple qu'il n'y paraît / Tout prend toujours plus de temps que prévu / Et si quoique ce soit peut mal se passer / Alors cela se passera au pire moment possible."
Bon, plus qu'une semaine avant de rentrer. J'ai très hâte.