Plus que demain à travailler sur des choses inintéressantes et ce sera marre pour ce stage dans lequel il faut creuser pour trouver des miettes d'utilité.
Moral en nette amélioration. Peut-être est-ce le fait que je vais être débarrassé de ce fardeau de travail, peut-être est-ce le fait que je pars mardi pour la France et un grand mois d'août de vraies vacances (d'où le titre de l'article), peut-être étais-je dans une période néfaste et que c'est passé tout seul... En tout cas, ça vaaaaaaaa ('cule un mouton).
D'abord quelques trucs en vrac avant de raconter ma soirée d'hier qui mérité d'être narratée.
J'avais causé d'une soirée célébrant la sortie du dernier Harry Potter... Rien qui ne mérite vraiment le terme "soirée" en fait. Juste les vendeurs arborant des chapeaux pointus et des capes noires, offrant des marque-pages à qui répondrait à des questions sur le monde de Harry... rien de bien excitant. Quand je suis arrivé devant la librairie, la file d'attente se prolongeait jusque dans la rue, et pas qu'un peu. Après m'être assuré que même les gens qui n'avaient pas réservé le bouquin avaient leur chance de l'obtenir, je m'insère et finalement, peu après minuit (heure à laquelle les ventes ont commencé), me v'là avec mon exemplaire des Deathly Hallows dans la main. Je me suis rentré et le week-end fut entièrement consacré à la lecture de l'ouvrage. Lecture non-stop: vendredi de 1h à 5h, samedi de 13h à 4h et enfin dimanche de 12h à 14h. J'avais un peu les jambes engourdies... Bon bouquin, mais moins noir et sombre que j'imaginais. Les détails de l'histoire, même ceux présents dans le tout premier bouquin, s'emboîtent parfaitement et c'est beau.
Ce mois de juillet fut riche en cinéma:
Je devais aller dans une boîte avec l'un des deux autres stagiaires du boulot (les gars discrets). J'avais donné rendez-vous au terminus d'une ligne de bus pensant que c'était l'arrêt proche de ladite boîte. En fait non, le terminus était à perpète (mea culpa pour le coup). Je tourne donc en rond pendant trois bons quarts d'heure avec l'espoir de retrouver mon camarade dans la foule, sans trop y croire cependant. Coup de chance, je le croise! Ouf! On essaie d'aller dans cette discothèque dont l'entrée était gratuite jusqu'à ce qu'on arrive... 10E l'entrée, de la merde! On essaie une autre, même chanson. Finalement, on se rabat sur le Fitzsimon's qui fut à plusieurs reprises le théâtre de bonnes surprises (lesquelles surprises terminèrent dans mon pieu... ou l'inverse d'ailleurs).
Bref, on entre, prend nos boissons, s'asseoit. Petit oubli: je porte une chemise rose achetée y'a pas longtemps. Je sais que le rose c'est pas viril, mais la couleur me sied bien. J'ai eu le droit à quelques regards inquisiteurs et des remarques un peu désobligeantes dans la rue... Je me demande bien pourquoi, c'est pas comme si je paradais pour la gay pride...
Enfin bon. Toujours est-il que je crois que c'est cette chemise qui a attiré les regards d'un membre d'un duo de demoiselles dans un coin de la salle. Regards insistants, auxquels je réponds avec le mien, agrémenté d'un sourire charmeur (enfin j'essaie). Bon, ça m'a l'air d'être bien accueilli. Finalement, elles se lèvent pour rejoindre la piste de danse (enfin c'est que qu'on suppose). Là encore, l'une d'elles me regarde en passant. Hou, mais c'est que ça m'a l'air encourageant! On finit donc nos bières, et en route pour le dancefloor. Mon ami les repère dans la masse de gens agglutinés et dandinants. Bon, comme à mon habitude, j'ai toujours quelque hésitation à me lancer. C'est donc mon collègue qui y va et commence à remuer son cul avec l'une des deux (la brune. C'était l'autre, une châtaigne, qui me reluquait). Ça prend, je m'approche donc de l'autre et danse avec. J'engage la conversation en demandant d'où elle vient, et c'est parti!
Résumé de la fille en question. Elle s'appelle Kamila, vient de Pologne, a 22 ans et un appareil dentaire, de beaux yeux bleus, petite mais pas trop, fait des études en pharmacie, est à Dublin depuis 2 jours, a des petits seins et recherche un job pour l'été, avec l'intention de rester après.
Au cours de la soirée, je danse avec elle un certain nombre de fois sans pour autant tenter quoi que ce soit afin de ne pas faire trop prédateur. Puis finalement, avec une musique un peu plus latino, donc plus sensouelle, je me tente à approcher mon visage du sien. Oh! Elle esquive! La gueuse! Bon, peut-être encore un peu tôt? En fait non, mes autres tentatives de la soirée furent aussi vaines qu'un traité de paix en Israël. Diantre, pourtant elle ne rechigne pas à ce qu'on danse entrelacés! La soirée finit vers 3h, nous sortons donc et une bagarre éclate dans la rue pas loin de nous. Aussi, sur mon destrier blanc, je lui prends la main afin de l'éloigner du péril qui la guette (en douceur hein, je ne l'ai pas tirée comme une brute). Au début, elle laisse sa menotte dans la mienne, et puis finalement, elle en reprend pleine possession. Fichtre! Je bisque! Peste!
Finalement, nos groupes se séparent devant la cathédrale St Patrick et c'est au dernier moment que je lui demande son numéro, espérant qu'elle manifesterait quand même un minimum d'intérêt pour le mien. Que nenni. Je subodore que la femelle en question a un boyfriend qui doit l'attendre (ou pas) dans son pays (ou pas) et qu'en fait, c'était juste de l'amusement. Enfin on verra dans le futur. Dommage, je n'ai pas pu élargir (hum) mon éventail de nationalités conquises en terres irlandaises.
Au fait, c'est Hermione qui meurt.
Moral en nette amélioration. Peut-être est-ce le fait que je vais être débarrassé de ce fardeau de travail, peut-être est-ce le fait que je pars mardi pour la France et un grand mois d'août de vraies vacances (d'où le titre de l'article), peut-être étais-je dans une période néfaste et que c'est passé tout seul... En tout cas, ça vaaaaaaaa ('cule un mouton).
D'abord quelques trucs en vrac avant de raconter ma soirée d'hier qui mérité d'être narratée.
J'avais causé d'une soirée célébrant la sortie du dernier Harry Potter... Rien qui ne mérite vraiment le terme "soirée" en fait. Juste les vendeurs arborant des chapeaux pointus et des capes noires, offrant des marque-pages à qui répondrait à des questions sur le monde de Harry... rien de bien excitant. Quand je suis arrivé devant la librairie, la file d'attente se prolongeait jusque dans la rue, et pas qu'un peu. Après m'être assuré que même les gens qui n'avaient pas réservé le bouquin avaient leur chance de l'obtenir, je m'insère et finalement, peu après minuit (heure à laquelle les ventes ont commencé), me v'là avec mon exemplaire des Deathly Hallows dans la main. Je me suis rentré et le week-end fut entièrement consacré à la lecture de l'ouvrage. Lecture non-stop: vendredi de 1h à 5h, samedi de 13h à 4h et enfin dimanche de 12h à 14h. J'avais un peu les jambes engourdies... Bon bouquin, mais moins noir et sombre que j'imaginais. Les détails de l'histoire, même ceux présents dans le tout premier bouquin, s'emboîtent parfaitement et c'est beau.
Ce mois de juillet fut riche en cinéma:
- Shrek 3: clairement moins bien que les deux premiers opus. Beaucoup de gnangnan, peu d'action. Quelques gags marrants, mais finalement, je me suis un peu ennuyé.
- Die Hard 4.0: un bon Die Hard, du McClane comme on l'aime, avec une fin que je trouve grandiose (la poursuite finale et la mort du méchant).
- Harry Potter et l'Ordre du Phénix: sympa. Bien fait, on reprend du plaisir à en prendre plein les yeux, mais je connaissais déjà toute l'histoire. Pur plaisir visuel donc.
- Transformers: une merde américaine remplie de clichés, mais j'y suis allé dans l'optique de voir un film débile et sans intérêt, donc je n'ai pas été déçu. C'est tout de même rigolo et plaisant quand on veut se détendre, mais ne vaut certainement pas une place de cinéma.
- Les Simpsons: un début excellent, des auto-références désopilantes, mais sans plus. Je compare toujours avec South Park, dont le film consistait en un crecendo qui se terminait par une véritable apocalypse! Ici, le film ne décolle pas vraiment...
Je devais aller dans une boîte avec l'un des deux autres stagiaires du boulot (les gars discrets). J'avais donné rendez-vous au terminus d'une ligne de bus pensant que c'était l'arrêt proche de ladite boîte. En fait non, le terminus était à perpète (mea culpa pour le coup). Je tourne donc en rond pendant trois bons quarts d'heure avec l'espoir de retrouver mon camarade dans la foule, sans trop y croire cependant. Coup de chance, je le croise! Ouf! On essaie d'aller dans cette discothèque dont l'entrée était gratuite jusqu'à ce qu'on arrive... 10E l'entrée, de la merde! On essaie une autre, même chanson. Finalement, on se rabat sur le Fitzsimon's qui fut à plusieurs reprises le théâtre de bonnes surprises (lesquelles surprises terminèrent dans mon pieu... ou l'inverse d'ailleurs).
Bref, on entre, prend nos boissons, s'asseoit. Petit oubli: je porte une chemise rose achetée y'a pas longtemps. Je sais que le rose c'est pas viril, mais la couleur me sied bien. J'ai eu le droit à quelques regards inquisiteurs et des remarques un peu désobligeantes dans la rue... Je me demande bien pourquoi, c'est pas comme si je paradais pour la gay pride...
Enfin bon. Toujours est-il que je crois que c'est cette chemise qui a attiré les regards d'un membre d'un duo de demoiselles dans un coin de la salle. Regards insistants, auxquels je réponds avec le mien, agrémenté d'un sourire charmeur (enfin j'essaie). Bon, ça m'a l'air d'être bien accueilli. Finalement, elles se lèvent pour rejoindre la piste de danse (enfin c'est que qu'on suppose). Là encore, l'une d'elles me regarde en passant. Hou, mais c'est que ça m'a l'air encourageant! On finit donc nos bières, et en route pour le dancefloor. Mon ami les repère dans la masse de gens agglutinés et dandinants. Bon, comme à mon habitude, j'ai toujours quelque hésitation à me lancer. C'est donc mon collègue qui y va et commence à remuer son cul avec l'une des deux (la brune. C'était l'autre, une châtaigne, qui me reluquait). Ça prend, je m'approche donc de l'autre et danse avec. J'engage la conversation en demandant d'où elle vient, et c'est parti!
Résumé de la fille en question. Elle s'appelle Kamila, vient de Pologne, a 22 ans et un appareil dentaire, de beaux yeux bleus, petite mais pas trop, fait des études en pharmacie, est à Dublin depuis 2 jours, a des petits seins et recherche un job pour l'été, avec l'intention de rester après.
Au cours de la soirée, je danse avec elle un certain nombre de fois sans pour autant tenter quoi que ce soit afin de ne pas faire trop prédateur. Puis finalement, avec une musique un peu plus latino, donc plus sensouelle, je me tente à approcher mon visage du sien. Oh! Elle esquive! La gueuse! Bon, peut-être encore un peu tôt? En fait non, mes autres tentatives de la soirée furent aussi vaines qu'un traité de paix en Israël. Diantre, pourtant elle ne rechigne pas à ce qu'on danse entrelacés! La soirée finit vers 3h, nous sortons donc et une bagarre éclate dans la rue pas loin de nous. Aussi, sur mon destrier blanc, je lui prends la main afin de l'éloigner du péril qui la guette (en douceur hein, je ne l'ai pas tirée comme une brute). Au début, elle laisse sa menotte dans la mienne, et puis finalement, elle en reprend pleine possession. Fichtre! Je bisque! Peste!
Finalement, nos groupes se séparent devant la cathédrale St Patrick et c'est au dernier moment que je lui demande son numéro, espérant qu'elle manifesterait quand même un minimum d'intérêt pour le mien. Que nenni. Je subodore que la femelle en question a un boyfriend qui doit l'attendre (ou pas) dans son pays (ou pas) et qu'en fait, c'était juste de l'amusement. Enfin on verra dans le futur. Dommage, je n'ai pas pu élargir (hum) mon éventail de nationalités conquises en terres irlandaises.
Au fait, c'est Hermione qui meurt.
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