Ah! Quel mois d'août! Inversement proportionnel à la qualité de la météo si je puis dire...
J'atterris le 31 juillet à l'aéroport de la Rochelle pour une semaine de farniente au bord de la mer avec mes parents. Soleil, chaleur, plage, mer, sable, maillots de bain... impeccable!
Une seule petite anecdote sur ce séjour. Au camping où nous étions séjournaient également deux blondasses que je croisais de temps en temps. Allemandes à la façon de causer (même si je ne pratique pas ce dialecte, j'arrive à le reconnaître facilement au fait que c'est la seule langue que je trouve plus laide que le hollandais). Mais bon, elles n'avaient pas l'air bien ouvertes si je puis dire. Et puis un soir, on se croise dans une allée et on se salue. Comme elle allait se pomponner, elle revient automatiquement devant l'emplacement de mes parents, et là, je lui demande ce qu'elle et sa copine font ce soir. Elles vont à the boîte of the coin et que si ça m'intéresse de venir, je suis le bienvenu. Ah ben une invitation comme ça, ça ne se refuse pas!
Mais bon, elles rejoignent un groupe d'amis à elles et je passe une soirée avec des "gosses" dont la moyenne d'âge doit tourner autour de 17 ans (les Allemandes ont 18 et 17... une des filles du groupe à 15...). J'ai beaucoup causé avec la "vieille" Allemande car sa copine ne locaçait pas beaucoup et j'étais le seul dans les environs à parler un Anglais correct. Malgré cette valeur ajoutée, elle n'a pas l'air réceptive à mes avances. Bon... c'est pas grave car elles s'en vont le lendemain (décidément...). Je rencontre également deux Anglais, trois Irlandais et un Français dans la boîte histoire de dire que je suis social. Mais rien de plus, je passe ce séjour plagistique avec mes parents, ce qui est déjà très bien.
Retour en région parisienne vers le 8 août. Ce cher Biscuit me confie qu'il a une cible pour moi: la meilleure copine de la petite soeur de sa copine à lui (je clair Luc?). La petite soeur justement m'a fait une pub d'enfer et je suis plutôt bien parti apparemment. Météo oblige, au lieu d'organiser la première rencontre dans la forêt à l'ombre des blocs de grès bleausards, celle-ci se déroule chez la petite soeur justement. Après-midi jeux de société, c'est un peu "lame", mais bon, faut bien s'occuper quand il pleut. Ma foi bon moment, on s'est bien amusés, et le bougre m'avait pas menti, elle est fort mignonne.
Deuxième rencontre ce coup-ci en forêt, profitant d'une journée à peu près ensoleillée pour dégourdir nos muscles. Itou, aprèm agréable où j'ai pu renouer avec l'escalade. Le soir se déroule chez Biscuit justement, avec un barbecue et différentes activités ludiques. Bon repas, un peu bien arrosé et puis finalement, tout le monde dodo. Ma chère et tendre et moi-même avions jeté nos dévolus sur les canapés, confortables et proches l'un de l'autre. La bougresse me fait une frayeur en essayant de voir si elle pouvait pas dormir à l'étage, mais finalement non.
Dans l'obscurité et après les formalités d'usage, je finis par l'embrasser. On passe donc la nuit à se faire gouzi-gouzi (et rien d'autre, on n'est point des bêtes).
Quelques jours plus tard, nous partons Biscuit et sa Galette en Vendée pour une petite semaine, avec l'espoir d'y faire un peu de plongée. Le temps est particulièrement merdique, si bien que niveau activités, nous n'avons réussi qu'à faire du cerf-volant. Bons restaus cependant avec balades en bagnole. Même pas de baignade, faisait trop froid (même pour moi). Je chope cependant une angine d'origine *virale*, ce qui fera taire les mauvaises langues qui affirment que je ne me suis pas couvert et qui oublient que j'ai un bonus de résistance au froid. Bref, ç'aurait pu être 'achement plus mieux, mais ça allait quand même.
Retour quelques jours sur Paris avant de repartir pour l'Irlande. J'arrive à caser un après-midi avec Giulia (mon jacuzzi), une soirée avec quelques camarades épitéens (et pas des moindres), visite chez mon frère pour admirer ma dernière nièce et deux après-midis en forêt. J'ai pas chômé quoi!
Me voici donc de retour à Dublin, avec une maison crade et un frigo qui contient des aliments qui ne devraient pas tarder à développer leur propre conscience... Pas pour longtemps, car je reviens le 5 septembre au soir et ce, définitivement. En effet, entre les offres d'emploi dublinoises et parisiennes, mon coeur a balancé. Pas grand chose d'intéressant ici contre plein de boulots susceptibles de l'être cheu nous. Globalement, l'Irlande n'a pas grand chose de plus à m'offrir que la France, bien au contraire. Donc voilà, j'avorte mon projet d'avoir mon premier boulot à l'étranger. J'ai déjà une xp de 7 mois, c'est déjà pas mal. J'ai quelques entretiens de prévus pour ma rentrée, donc je ne m'inquiète pas. Restera plus qu'à trouver un appart' sur place...
Voilà. Je reverrai certainement la plupart d'entre vous en septembre!
J'atterris le 31 juillet à l'aéroport de la Rochelle pour une semaine de farniente au bord de la mer avec mes parents. Soleil, chaleur, plage, mer, sable, maillots de bain... impeccable!
Une seule petite anecdote sur ce séjour. Au camping où nous étions séjournaient également deux blondasses que je croisais de temps en temps. Allemandes à la façon de causer (même si je ne pratique pas ce dialecte, j'arrive à le reconnaître facilement au fait que c'est la seule langue que je trouve plus laide que le hollandais). Mais bon, elles n'avaient pas l'air bien ouvertes si je puis dire. Et puis un soir, on se croise dans une allée et on se salue. Comme elle allait se pomponner, elle revient automatiquement devant l'emplacement de mes parents, et là, je lui demande ce qu'elle et sa copine font ce soir. Elles vont à the boîte of the coin et que si ça m'intéresse de venir, je suis le bienvenu. Ah ben une invitation comme ça, ça ne se refuse pas!
Mais bon, elles rejoignent un groupe d'amis à elles et je passe une soirée avec des "gosses" dont la moyenne d'âge doit tourner autour de 17 ans (les Allemandes ont 18 et 17... une des filles du groupe à 15...). J'ai beaucoup causé avec la "vieille" Allemande car sa copine ne locaçait pas beaucoup et j'étais le seul dans les environs à parler un Anglais correct. Malgré cette valeur ajoutée, elle n'a pas l'air réceptive à mes avances. Bon... c'est pas grave car elles s'en vont le lendemain (décidément...). Je rencontre également deux Anglais, trois Irlandais et un Français dans la boîte histoire de dire que je suis social. Mais rien de plus, je passe ce séjour plagistique avec mes parents, ce qui est déjà très bien.
Retour en région parisienne vers le 8 août. Ce cher Biscuit me confie qu'il a une cible pour moi: la meilleure copine de la petite soeur de sa copine à lui (je clair Luc?). La petite soeur justement m'a fait une pub d'enfer et je suis plutôt bien parti apparemment. Météo oblige, au lieu d'organiser la première rencontre dans la forêt à l'ombre des blocs de grès bleausards, celle-ci se déroule chez la petite soeur justement. Après-midi jeux de société, c'est un peu "lame", mais bon, faut bien s'occuper quand il pleut. Ma foi bon moment, on s'est bien amusés, et le bougre m'avait pas menti, elle est fort mignonne.
Deuxième rencontre ce coup-ci en forêt, profitant d'une journée à peu près ensoleillée pour dégourdir nos muscles. Itou, aprèm agréable où j'ai pu renouer avec l'escalade. Le soir se déroule chez Biscuit justement, avec un barbecue et différentes activités ludiques. Bon repas, un peu bien arrosé et puis finalement, tout le monde dodo. Ma chère et tendre et moi-même avions jeté nos dévolus sur les canapés, confortables et proches l'un de l'autre. La bougresse me fait une frayeur en essayant de voir si elle pouvait pas dormir à l'étage, mais finalement non.
Dans l'obscurité et après les formalités d'usage, je finis par l'embrasser. On passe donc la nuit à se faire gouzi-gouzi (et rien d'autre, on n'est point des bêtes).
Quelques jours plus tard, nous partons Biscuit et sa Galette en Vendée pour une petite semaine, avec l'espoir d'y faire un peu de plongée. Le temps est particulièrement merdique, si bien que niveau activités, nous n'avons réussi qu'à faire du cerf-volant. Bons restaus cependant avec balades en bagnole. Même pas de baignade, faisait trop froid (même pour moi). Je chope cependant une angine d'origine *virale*, ce qui fera taire les mauvaises langues qui affirment que je ne me suis pas couvert et qui oublient que j'ai un bonus de résistance au froid. Bref, ç'aurait pu être 'achement plus mieux, mais ça allait quand même.
Retour quelques jours sur Paris avant de repartir pour l'Irlande. J'arrive à caser un après-midi avec Giulia (mon jacuzzi), une soirée avec quelques camarades épitéens (et pas des moindres), visite chez mon frère pour admirer ma dernière nièce et deux après-midis en forêt. J'ai pas chômé quoi!
Me voici donc de retour à Dublin, avec une maison crade et un frigo qui contient des aliments qui ne devraient pas tarder à développer leur propre conscience... Pas pour longtemps, car je reviens le 5 septembre au soir et ce, définitivement. En effet, entre les offres d'emploi dublinoises et parisiennes, mon coeur a balancé. Pas grand chose d'intéressant ici contre plein de boulots susceptibles de l'être cheu nous. Globalement, l'Irlande n'a pas grand chose de plus à m'offrir que la France, bien au contraire. Donc voilà, j'avorte mon projet d'avoir mon premier boulot à l'étranger. J'ai déjà une xp de 7 mois, c'est déjà pas mal. J'ai quelques entretiens de prévus pour ma rentrée, donc je ne m'inquiète pas. Restera plus qu'à trouver un appart' sur place...
Voilà. Je reverrai certainement la plupart d'entre vous en septembre!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire