19 mai 2008

Diplômé !

Ça y est, c'est officiel, je suis ingénieur EPITA.

Bon, je m'en doutais bien un peu depuis pas mal de temps déjà, mais bon, pour le coup, c'est vraiment fini. Plus d'éventuelle vengeance de mon administration si je fais des bêtises à l'école, plus de crainte de TIG de la part du Bocal en cas de grabuge en SM.

Je suis arrivé aux bâtiments de l'Unesco pour la cérémonie avec mes parents vers 17h. Une file d'attente déjà fort longue nous a permis de repérer l'entrée. VIP oblige, j'entre en passant devant tous les invités, laissant mes géniteurs attendre dehors, pour retrouver plein d'anciennes têtes (de têtes d'anciens plutôt). Une fois dans le hall avec ma zolie écharpe bleu texture soie de diplômé, je salue tout plein de mes anciens camarades et ça cause à tout va.

Arrive le moment où on nous fait rentrer dans la salle de "spectacle" à proprement parler. Cela faisait un peu Assemblée Nationale avec les tables feutrement éclairée, les emplacements pour les micros, la disposition légèrement amphithéâtrale, la grande estrade et le symbole de l'Unesco derrière. Un p'tit bonjour à une Nella en robe noire que j'essaie vainement et veine-ment de soudoyer pour que mes parents aient la meilleure place. Je prends place à la mienne (que j'avais de réservée bien sûr) et j'attends.

Les discours sont assez longuets, les Masteres passent avant nous. Le chaleureux accueil que nous faisons à notre bien (?)-aimé (?) directeur et quelques allusions bien placées dans son discours me chauffent encore plus le cœur de cette ambiance épitéenne.

La remise se fait pas spécialisation dans l'ordre : CSI, SRS, GISTR, SCIA, SIGL et MTI (manque les TCOM, mais bon, personne ne les connait alors...). Les majors de promo font leur discours à leur tour (petit honneur à Éric Keller qui en fait un en or).

Notre tour arrive relativement pitoyablement car ni notre chef de spé, ni notre major ne sont présents (pour le chef de spé, c'est moins grave). En plus le premier de la liste s'est fait oublié lors de l'appel, et c'est évidemment durant mon entrée que le cafouillage pour le rattraper se fait. Enfin bon...

Poignées de mains, félicitations de Jojo et du Président Ionis, remise du papier, photo, et je prends place sur l'estrade sur laquelle se tiennent déjà mes camarades des autres options. Ça fait du monde, je suis tout au fond, sur le bord de l'estrade, prêt à tomber et à me rompre le cou dans d'atroces râles d'agonie. Mais en fait non, ça tient. Mes collègues SCIA et moi-même gueulons un peu pour que David Doukhan, un énergumène sympathique mais au style quelque peu baba-cool fasse le discours à la place du major absent. L'acoustique étant déplorable sur scène, nous n'entendons rien des conneries qu'il a du sortir. Faudra que je lui demande à l'occasion.

Bref, bonne ambiance sur l'estrade, et grosse marrade quand on découvre qu'en fait, le papier qu'on nous a remis n'est qu'un bon pour aller chercher le vrai diplôme au cocktail. Pourquoi faire simple...

Cocktail time ! Nous montons au septième avec ascenseur, je me fais remettre mon vrai diplôme 100% pur porc (enfin !) et zou ! Au bar ! Les serveurs nous octroient des doses fort généreuses pour les boissons, ce dont je leur sais gré, et j'en profite honteusement. Je cause avec plein de gens dont je ne ferai pas la liste ici de peur d'en oublier. Je citerai pour des raisons évidentes Pedro et Chiche. Mes parents, pas forcément très à l'aise avec plein de gens inconnus, se retirent relativement tôt. Je continue de me moisir le foie à coups de whiskys-coca. À partir de ce point, mes souvenirs deviennent plus vagues.

Je me souviens de Pedro qui s'en est allé parce que Pedrette l'attendait en bas, puis est revenu parce que Pedrette était en retard, m'a forcé à finir mon verre pour en reprendre un avec lui, est finalement reparti pour de bon.

Je me souviens d'avoir rejoins une deuxième salle de cocktail où plus de monde restait.

Je me souviens y avoir signé le Yearbook de Nathalie, prof d'algo, avec son stylo rouge de maitresse d'école qui m'a beaucoup inspiré pour mon petit mot (lequel doit justement contenir le même genre de pensée...)

Je me souviens que Vineus m'a parié un restaurant si j'arrivais à rouler une pelle à ladite Nathalie, chose que je n'ai pas tenté mais que j'ai quand même conçu.

Je me souviens avoir beaucoup parlé avec Madame Cavatortaaaaaaaaa, directrice des classes prépa et Marie Moin, prof de droit. Je me souviens d'ailleurs avoir avoué à cette prof' que le devoir qu'elle nous avait donné à faire, et ben c'est un ami juriste qui l'avait fait à notre place et que je vous ai quand même un peu eue sur ce coup-là.

Je me souviens avoir fait la bise à mon ex-Directeur, à Akim, à deux femmes de la com' dont je ne me souviendrai jamais qui est qui et certainement à toutes les personnes de l'administration à portée de lèvres.

Je me souviens avoir causé avec NellA, l'avoir "rassurée" que quand je suis bourré, je reste quand même sérieux et que je n'irai pas jouer au gros lourd dragueur bourré.

...

Je me souviens être sorti de l'Unesco et m'être retrouvé devant le bar qui était prévu comme "after" avec Micha, sa maman et son compagnon, Pwipwi, Olive, son frère et sa compagne... et je crois que c'est tout. Pour une raison qui m'est encore inconnue, nous ne sommes pas allé rejoindre les autres (y étaient-ils seulement ? J'ai un vague souvenir de Bourriquet dehors...).

Je me souviens d'un vague voyage dans le métro et du long tapis roulant de Châtelet.

Je me souviens plus ou moins bien d'un bar dans lequel on a encore un peu bu, certains mangé, où j'ai été retirer de l'argent à un distributeur, où j'ai parlé politique avec le frère d'Olive, où la serveuse était noire et charmante et le barman un peu gay sur les bords...

Je me souviens être rentré avec Pwipwi à pattes et nous avons discuté littérature et gonzesses (surtout lui en fait... Je ne me souviens pas lui avoir parlé d'Anna...), nous avons également pissé dans la Seine.

Je me souviens et je suis heureux de l'avoir fait, d'avoir prix deux grands verres d'eau avant de me coucher, ce qui m'a évité un mal de cheveux qui aurait pu être prodigieux. J'ai juste eu un peu la tête tournante et une grande mollesse.

Bref, je me suis bien amusé, même si j'ai apprécié la soirée avec Micha (que je n'avais pas vu depuis longtemps), je regrette de ne pas en avoir profité (la soirée, pas Micha) avec plus de monde.

-- Annonces --

Si vous avez retrouvé mon écharpe bleue de diplômé, vous monteriez de beaucoup dans mon estime personnelle en me la remettant.

Si vous avez de quoi remplir ce gruyère qui ressemble vaguement à ma mémoire de la soirée, envoyez-moi un mail, histoire que je meure moins bête.

05 mai 2008

Des weekends prolongés de le fête du travail comme ça, j'en veux tous les jours !

Commençons par le commencement, à savoir mercredi soir, anniversaire de mon ex... colocataire Damien. Ursula, l'autre ex-coloc', avait eu la bonne idée d'acheter un dessin d'Enki Bilal à accrocher sur les murs. Elle l'avait ramené chez moi la veille.

Ce mercredi soir donc, j'ai la mauvaise idée de rester plus tard au boulot pour une raison qui m'échappe encore. Je galope donc chez moi, chope le tableau (qui ne doit pas faire loin de 60cm x 80cm le salaud), le trimballe dans le métro et finalement arrive au Louchébem, restau spécialisé dans la bidoche que notre cher nouveau vingt-ternaire apprécie grandement (et à raison). Repas très agréable, bien arrosé, la viande effectivement excellente et à profusion, les fromages faits à souhait et la poire Belle-Hélène correcte (pas le meilleur pour la fin du coup).

La soirée ne faisant que commencer (nous sommes sortis du restaurant vers 23h-00h), nous allons faire un tour à la Guinness Tavern histoire de boire un coup quand même (le vin pendant le repas, ça ne compte pas vraiment). La Tavern, c'est bien, mais c'est cher... Si bien que finalement, Vineus propose de terminer la soirée chez lui. Nous nous y rendons donc dis donc. Notre hôte nous propose un whisky 15 ans d'âge qui ma foi est fort exquis, mais qui nous a tous coupé les jambes et le reste. Madoué, quelle claque ! C'est après le deuxième verre et une fois que la fatigue commence à monter que nous décidons de partir, titubant tant bien que mal jusqu'à l'arrêt de bus idoine le plus proche. J'ai quand même une sévère barre au front le lendemain matin, qu'une grasse mat' arrive à atténuer. J'apprendrai plus tard que mes congénères ne furent pas aussi solides que moi et dégobillèrent joyeusement le Soleil une fois levé (quel gâchis !).

M'étant inscrit dans une chorale récemment, répétition pas générale en début de soirée chez l'un de mes partenaires de voix. J'ellipse volontairement l'après-midi car ce ne fut que glande et compagnie. La répétition se traîne jusqu'à plus de 21h, alors que je dois aller juste derrière à une soirée organisée par un Russe connu dans le milieu fêtard soviétique de Paris, à laquelle Mokuhi m'a convié, ayant été lui-même invité par une amie à lui.

Derechef, je fonce dans le métro, traverse tout Paris pour retourner chez moi, me fais encore plus beau que je ne le suis, et les rejoins lui, sa compagne et son frère au métro Tolbiac. Direction "Le Milliardaire" à côté des Champs-Zé. Nous poireautons devant le club quelque temps, on nous dit que ça ne commence pas avant 00h. Bon, nous attendons encore, les amis de Mokuhi nous rejoignent et enfin bref, nous rentrons aux alentours de 00h30.

L'intérieur du club pourrait faire penser à un décor de film X un peu cliché. Que du rouge. Partout. Les murs de moquette rouge foncé, le plafond capitonné de rouge également, le tout éclairé par de la lumière tamisée provenant de lampes... bingo : rouges. Une fois les manteaux laissés au vestiaire, nous descendons au sous-sol où, surprise, une salle rouge nous attend. Bon, y'a plus de couleurs à cause des tables blanches et des gens. Par contre, la classe, chaque table offre son grand saut de glaçons pour les bouteilles.

Ah ! Les bouteilles ! Tout le monde sait que le prix des bouteilles d'alcool dans les discothèques est une véritable sodomie qui ferait pâlir le plus homosexuel des Grecs. Et bien là, c'est la valeur dix sur l'échelle du viol. 480EUR la bouteille d'un litre et demi de vodka ! Pas mal hein ? Et mes camarades sont suffisamment inconscients (ou fortunés) pour s'en prendre une ! À leur aise, je n'aime pas la vodka, mais je profite quand même un petit peu des softs qui vont avec(gracieusement offerts d'ailleurs). Je me fais quand même raboter l'anus d'un verre de whisky à 20EUR histoire de ne pas être le seul à ne pas boire. Désolé pour le langage, mais parfois, seule la grossièreté peut vraiment dépeindre la réalité.

Bref, on s'installe et on tente de causer parmi le tintamarre musical. Le décor est chic, les filles encore plus. Il faut dire que la Russe n'est pas très réputée pour sa médiocrité physique. Le niveau esthétique du public féminin est fort élevé.Le temps que l'ambiance chauffe, il est 1h30 du matin (petite précision, je ne fais pas le pont du premier mai) quand on se décide à aller danser. Bon, on danse, très bien. Aux aguets que je suis parce que bon, hein, ce serait bête de ne pas tenter sa chance au milieu de si jolies créatures. Je cherche, je trouve. Une jolie petite brunette qui me fait de l'oeil et me flèche un sourire que même Guillaume Tell aurait été risible avec sa pomme trouée en comparaison.

Ne recevant pas souvent de cartons d'invitation pareils, je m'approche donc et fais ce que je n'aime pas trop faire mais que bon je n'ai pas trop le choix de faire parce que pas grand chose d'autre à faire dans ce genre de situation (reprise de souffle), à savoir faire mon paon. Et on se frotte, et on se sourit, et mes mains sur tes hanches par devant, et on s'oeillade, et mes mains sur ton ventre par derrière (tiens ? un piercing au nombril ! Ça me rappelle une ex...), et nos fronts qui se touchent... Seulement quand il s'agit que mademoiselle parcourt l'ultime centimètre qui sépare mes lèvres des siennes, c'est niet (c'est le cas de le dire). Peste, comme on disait à Londres en 1665 et en français dans le texte. Après plusieurs tentatives infructueuses, je jette l'éponge, me disant que zut, encore une garce qui s'amuse.

Vais donc boire un verre, redanser un peu dans un autre coin du club, et puis la musique s'améliorant encore plus, retourne sur la piste principale. J'épie pour une autre proie, mais aucune autre ne semble s'intéresser à moi. Et puis hop, revoilà la brunette... qui me refait des sourires tout plein et qui se met à danser avec moi. Boudiou, faudrait savoir ce qu'elle veut. Je recommence mon manège, un peu plus insistant, tant et si bien que enfin, le bon baiser de Russie tant attendu. Un moment, j'ai l'impression que c'est plus pour me faire plaisir qu'autre chose, mais non. On danse un slow sur "New York, New York" dans les bras l'un de l'autre, les yeux fermés à se bécoter. Charmant.

Mais les meilleures choses ont une fin (contrairement au saucisson qui en a deux), et mon groupe décide de s'en aller. Devant l'heure tardive, je ne peux qu'agréer (argh, je dois me lever dans 3h pour bosser). Je demande sans trop d'espoir son numéro à la demoiselle, qui me le donne bien volontiers et m'octroie un bisou d'adieu. Yay !

Nous rentrons en taxi, conduit par un mec bourré. Je me couche à 5h pour me lever à 7h30.

Bizarrement, le réveil après ces deux petites heures de sommeil n'est pas trop difficile. La journée non plus, malgré quelques petits coups de barre, mais bon, hé, j'ai quand même une bonne excuse. Crevé comme un hérisson sur le bord d'une autoroute, je ne fais rien le soir. Matage de séries et dodo.

Samedi, après une matinée tartinée de margarine et de saindoux, je passe l'après-midi en compagnie de Mokuhi et Marine au parc Montsouris à jouer au poker au Soleil. Impeccable !

Ah oui au fait, j'ai appelée Anna pour un rendez-vous ce soir, mais elle avait d'autres plans. En revanche, demain soir, pas de problème. Youpi !

Et après l'aprèm glande au Soleil, soirée gaufres chez moi avec Damien et Alex. Journée pépère s'il en est, mais il en faut.

Dimanche. Je me lève à 7h pour nettoyer ma chambre, acheter des bougies parfumées, de l'huile de massage, des pétales de rose, un lit à baldaquin, des capotes... Non en fait debout à 11h (c'est dimanche ho !), mais quand même rangement au cas où j'arriverais à ramener la demoiselle du Kremlin chez moi. J'hypothétise plein de trucs sur elle, car tout ce que je sais, c'est qu'elle s'appelle Anna et qu'elle a un accent russe à couper à la tronçonneuse. Est-ce que c'est une fêtarde permanente qui considère les discothèques comme seule occupation valable, ou alors une prostituée chargée de piéger de jeunes européens pour en faire... euh... des choses, ou alors un agent double des services du KGB pour récupérer le mot de passe de la base de données où est stocké ce blog ? Que de possibilités. Donc incluse la possibilité qu'elle vienne chez moi le premier soir, donc un peu de rangement quand même (et puis ça fait pas de mal).

Rando-roller du dimanche, histoire de me décrasser et de me rappeler que j'ai des muscles (ça fait longtemps que je n'ai pas fait de sport).

L'heure du rendez-vous arrive. Après quelques vagues cafouillages, dont la fermeture le dimanche du bar auquel je voulais l'amener où le fait qu'elle attendait *dans* la station et moi dehors, on se retrouve... et elle me fait la bise. Argh ! Je sais bien que les bisous hier en boîte ne représentaient rien de plus qu'une acceptation à me laisser son numéro de portable, mais quand même, j'ai les picotis d'une douche écossaise qui me taquinent le dos. Bon, soit. La Guinness Tavern (encore elle) n'est pas loin. Ce n'est peut-être pas le meilleur endroit pour un premier rencart, mais si elle aime le rock, ça peut le faire. Je lui demande donc, elle me répond par une affirmative enjouée. Chouette, elle a des bons goûts musicaux !

L'ambiance est un peu morte au pub. Il faut dire qu'il n'est que 21h30... Bon, on fait un tour. Je l'amène tant bien que mal devant Notre-Dame, qu'elle trouve magnifique. On fait le tour en longeant la Seine, on fait une pause sur un pont pour admirer les lumières de la ville se reflétant sur les vagues de la Seine avec (le cul / l'arrière) [rayez la mention qui vous paraît la moins adaptée à la description] de la cathédrale, j'arrive à nous faire tromper de direction alors que Notre-Dame est à portée de vue pour l'orientation, et après une bonne balade, la nuit est tombée et nous revoilà devant la Guinness Tavern avec les guibolles fatiguées et en se connaissant déjà beaucoup mieux l'un l'autre. Détail amusant, pendant la promenade, elle m'a prit le bras pour marcher. Ça m'a rappelé mon ex-russe qui m'avait fait le même coup. Optimiste, donc, que je suis (je ne pense pas que ce soit français, mais on va mettre ça sur le coup du style).

On s'assoit l'un en face de l'autre, on commande nos boissons et on écoute le groupe (pas mauvais d'ailleurs) en causant musique, langues, films, etc. Quand soudain... non, en fait rien de bien méchant, je me penche vers elle comme je l'ai fait des dizaines de fois avant pour lui demander quelque chose dans l'oreille pour couvrir la forte musique, mais elle a pris ça comme une tentative d'embrassade, et du coup m'embrasse. Ah ben... bon, ça me va aussi. Pour le coup, notre statut s'améliore. On n'est plus dans le club où le seul intérêt possible était physique. Là, on se connaît beaucoup mieux et c'est vraiment moi qui lui plaît, et pas seulement ma belle gueule. Youpi donc !

L'heure avançant, la fatigue reprend ses droits sur nos esprits et nous nous en allons. Elle habite vers le château de Vincennes, terminus de la ligne 1. J'aurais pu prendre la ligne 7 directement pour rentrer chez moi, mais je ne suis point un goujat. Derniers baisers au moment où les portes se referment et je m'éclipse pour rentrer chez moi ce coup-ci. L'inviter chez moi aurait été mal venu. Ce fut un rencart rondement mené, bien comme il faut, sans arrière-pensée, impeccable ! Un comme j'en rêvais ! Je n'ai donc pas voulu chier sur tout cela avec une invitation à but graveleux même pas camouflé. Cela se fera dans les règles de l'art.

Et puis diantre, quels yeux !