J'aurais du écrire le week-end dernier, mais je suis un homme assez occupé ses derniers temps, notamment à cause de mes obligations de stage. Mais bon, j'ai terminé mon abstract d'anglais, le document XML et le rapport en lui-même contient déjà une introduction qui mérite certainement une petite relecture, mais c'est toujours ça de moins à faire. Bref, pas trop le temps de m'amuser (en semaine bien sûr, dès le vendredi soir, c'est "party-time"!).
Donc, le week-end dernier aurait bien mérité un petit article. Je ne sais plus trop ce qu'il s'est passé le vendredi soir (pas que j'étais trop ivre pour m'en souvenir, juste que ça ne devait pas être suffisamment intéressant...), mais le samedi fut un peu plus amusant. Rendez-vous avec une de nos "filles favorites" à Temple Bar pour aller boire un coup. La demoiselle est venue avec deux copines à elle. L'une suggère un pub russe qui, de mon côté, avait reçu quelques bonnes critiques. En fait, si le pub est effectivement sympathique avec son décor de communiste, la musique en revanche est beaucoup trop forte, même pour un pub, surtout rajouté au fait que le genre musical est un rock pas très doux. Nous nous barrons donc assez vite pour retrouver un environnement sonore un peu plus plaisant. Une fois dehors, c'est mon tour de proposer un pub, je choisis celui qui fait également église, parce qu'il est très joli mais surtout parce qu'il est à deux pas. Nous y finissons donc la soirée à grand renfort de pintes.
Vers 3h du matin, nous sortons, l'une des filles complètement raide, pour manger un morceau. Étant donné l'heure tardive qu'il est et l'heure pas tardive à laquelle les derniers transports terminent leur office, il a été décidé que nous finirions tous chez nous, les trois filles et les trois garçons (Gildas, Raphaël et moi). Ce que nous. La fille bourrée nous casse un peu (beaucoup, passionnément) les bonbons pendant encore 2h avant de finalement se coucher, terrassée par la fatigue. C'est donc vers 5h du mat' que la soirée (si on peut dire) se termine et que tout le monde roupille, Gildas et moi dans nos lits respectifs, tous les autres dans le salon.
Une heure plus tard, v'là-t'y pas que notre pochetronne vient frapper à ma porte et me demande si elle peut venir se coucher avec moi. J'ouvre de deux millimètres ma paupière droite, maugréé que oui et me rendors aussitôt. Deux heures plus tard (à peu près hein, il faut pas croire que je m'amuse à surveiller ma montre à chaque péripétie histoire de faire un blog précis), elle se lève car doit aller faire un truc dans un bled relativement éloigné de la ville, me réveille et, sans bonjour ni merde, me dis que je suis un "pourri" (ce n'est pas le terme exact, mais un truc du genre). En fait, il s'avère que la demoiselle a cru que je l'avais draguée pendant la soirée et était un brin vexée de voir que je n'ai rien tenté, ni même que je ne la retiens pas avec moi dans mon lit. Je lui réponds avec toute la diplomatie qu'on peut avoir avec la tête pas loin du duodénum (c'est-à-dire aucune) que je ne l'avais pas draguée le moins du monde (ce qui est vrai), que je n'étais pas forcément très intéressé par une histoire en ce moment (ce qui est faux) et que merde, j'ai envie de dormir. Avec un peu de recul, il m'apparaît que sur le coup j'ai totalement raison, et que si elle avait voulu que je me charge d'elle, elle aurait pu m'envoyer quelques invitations, ce qu'elle n'a point. Bah! Je n'aurais pas gagné grand chose à coucher avec, ce n'est pas une grande perte. Je préfère me concentrer sur l'Italienne de l'autre soir.
Justement, j'ai oublié de dire (en fait je n'ai pas oublié, c'est juste un petit effet de style). J'avais envoyé au cours de la semaine un message à l'Italienne, que j'avais rencontrée précédemment et qui avait demandé à ce qu'on me donne son numéro, si elle était sur Dublin ce soir-là. Pas de réponse. Bon tant pis. Revenons au début de l'épisode, sur la place de Temple Bar. Nous regardons pour la n-ième fois les mecs qui font du limbo et qui j'aperçois-je dans la foule? Évidemment, l'Italienne en question! Elle a l'air très contente de me revoir, on cause un peu et il apparaît qu'elle attend un groupe d'amis pour la soirée. Le mien étant sur le point de partir pour le pub russe, on convient de se rejoindre un peu plus tard. Mais suite à quelques problèmes logistiques et organisationnels, finalement on ne se retrouve pas. Elle m'envoie le lendemain un message comme quoi c'était dommage mais que ce n'est que partie remise. J'ai l'impression qu'elle a envie de passer un peu de temps avec moi cette jolie blondinette... À suivre.
La semaine se passe tranquillement. J'envoie juste un message à cette Italienne pour tenter de plannifier un truc ce week-end. Pas de réponse immédiate.
Vendredi soir (*ce* vendredi soir donc), soirée entre couilles. Les filles sont occupées ou ne répondent pas. Qu'à cela ne tienne, nous sommes allés boire un coup dans un pub pas loin de Grafton Street (rue commerçante pas loin de St Stephen's Green).
Samedi, après une journée productive à taper mon rapport de stage, on se retrouve avec l'une des filles du week-end dernier à Temple Bar (pour changer!). La fille qui a partagé ma couche et avec qui je comptais essayer de négocier un petit quelque chose doit nous rejoindre dans quelques temps. Nous l'attendons donc au premier étage du Fitzsimon's, étage qui fait "dancefloor" à partir de 23h. À un moment, je vois une fille s'approcher de notre groupe. Il s'agit en fait d'une connaissance de Raphaël, qui est ici pour une raison que j'ignore toujours à l'heure actuelle. Bigrement sympathique, elle est originaire de Nouvelle-Zélande, pas trop petite, brune, yeux marron, une peu rondelette mais juste ce qu'il faut à mon goût. On cause pas mal de trucs divers et variés. Un peu plus tard, ma "cible" se radine, accompagnée d'une amie à elle certainement, amie que je qualifierai gentiment de "massive". À un peu moins d'une heure du matin, mes camarades masculins décident de s'en aller, certainement pas très enthousiasmés par l'ambiance discothèque tels que je les connais. Entre finir ma soirée avec deux mecs et la continuer avec quatre filles, mon choix est rapide à faire. Je reste donc avec Anna (la Néo-Zélandaise) et les autres. On va danser un peu, puis on se perd un peu de vue avec les autres filles, ce qui fait que je reste en tête-à-tête avec Anna. Un poil plus tard, on va boire deux pintes au bar parce qu'il fait quand même soif à gueuler pour se faire entendre à cause de cette maudite musique. Arrivés à la moitié de notre cinquième pinte de la soirée, on décide d'aller encore danser un brin et puis finalement s'en aller parce que l'ambiance commence à redescendre (faut dire que les pubs "dansants" ferment à 3h, dont nous ne sommes pas très loin à ce moment de l'histoire). Une fois dehors, elle sort son téléphone et me demande mon numéro. Un peu émeché (elle aussi d'ailleurs), je colle mon front au sien pour surveiller qu'elle tape bien les bons chiffres. Une fois mon numéro enregistré, on se regarde brièvement et on s'embrasse, un peu en bons camarades me sens-je obligé d'ajouter.
Elle habite au peu au Sud de Dublin (au-delà du centre ville) et envisage de prendre un taxi pour rentrer. Mais à cette heure, les cabs libres sont rares et au bout de quelques échecs à en héler un, je lui dis, deux-points-z'ouvrez-les-guillemets : "Je sais que c'est certainement inapproprié, mais si tu veux, tu peux dormir chez moi." Forcément, elle hésite, mais je lui assure que je serai un parfait gentleman (ce que je pensais... cette fille est vraiment sympa). Elle accepte (grâce à ma gueule de gentil mais aussi grâce à la Guinness je suspecte), et nous v'là arrivés chez moi (le chemin du retour ne mérite pas d'être conté). On se couche (moi en caleçon, elle en culotte et avec son haut). Je joue effectivement mon gentleman en évitant de la tripoter aux zones sensibles et même en me retournant vers le mur histoire de montrer ma détermination à tenir parole, mais c'est finalement elle qui craque.
Le lendemain, elle repart vers 9h du matin, je l'accompagne (gentleman oblige) jusqu'à la rue principale près de chez moi et je passe un dimanche avec les yeux pleins de sommeil ce qui a beaucoup nuit à mes activités.
Je pense qu'on se reverra certainement ce week-end.
Donc, le week-end dernier aurait bien mérité un petit article. Je ne sais plus trop ce qu'il s'est passé le vendredi soir (pas que j'étais trop ivre pour m'en souvenir, juste que ça ne devait pas être suffisamment intéressant...), mais le samedi fut un peu plus amusant. Rendez-vous avec une de nos "filles favorites" à Temple Bar pour aller boire un coup. La demoiselle est venue avec deux copines à elle. L'une suggère un pub russe qui, de mon côté, avait reçu quelques bonnes critiques. En fait, si le pub est effectivement sympathique avec son décor de communiste, la musique en revanche est beaucoup trop forte, même pour un pub, surtout rajouté au fait que le genre musical est un rock pas très doux. Nous nous barrons donc assez vite pour retrouver un environnement sonore un peu plus plaisant. Une fois dehors, c'est mon tour de proposer un pub, je choisis celui qui fait également église, parce qu'il est très joli mais surtout parce qu'il est à deux pas. Nous y finissons donc la soirée à grand renfort de pintes.
Vers 3h du matin, nous sortons, l'une des filles complètement raide, pour manger un morceau. Étant donné l'heure tardive qu'il est et l'heure pas tardive à laquelle les derniers transports terminent leur office, il a été décidé que nous finirions tous chez nous, les trois filles et les trois garçons (Gildas, Raphaël et moi). Ce que nous. La fille bourrée nous casse un peu (beaucoup, passionnément) les bonbons pendant encore 2h avant de finalement se coucher, terrassée par la fatigue. C'est donc vers 5h du mat' que la soirée (si on peut dire) se termine et que tout le monde roupille, Gildas et moi dans nos lits respectifs, tous les autres dans le salon.
Une heure plus tard, v'là-t'y pas que notre pochetronne vient frapper à ma porte et me demande si elle peut venir se coucher avec moi. J'ouvre de deux millimètres ma paupière droite, maugréé que oui et me rendors aussitôt. Deux heures plus tard (à peu près hein, il faut pas croire que je m'amuse à surveiller ma montre à chaque péripétie histoire de faire un blog précis), elle se lève car doit aller faire un truc dans un bled relativement éloigné de la ville, me réveille et, sans bonjour ni merde, me dis que je suis un "pourri" (ce n'est pas le terme exact, mais un truc du genre). En fait, il s'avère que la demoiselle a cru que je l'avais draguée pendant la soirée et était un brin vexée de voir que je n'ai rien tenté, ni même que je ne la retiens pas avec moi dans mon lit. Je lui réponds avec toute la diplomatie qu'on peut avoir avec la tête pas loin du duodénum (c'est-à-dire aucune) que je ne l'avais pas draguée le moins du monde (ce qui est vrai), que je n'étais pas forcément très intéressé par une histoire en ce moment (ce qui est faux) et que merde, j'ai envie de dormir. Avec un peu de recul, il m'apparaît que sur le coup j'ai totalement raison, et que si elle avait voulu que je me charge d'elle, elle aurait pu m'envoyer quelques invitations, ce qu'elle n'a point. Bah! Je n'aurais pas gagné grand chose à coucher avec, ce n'est pas une grande perte. Je préfère me concentrer sur l'Italienne de l'autre soir.
Justement, j'ai oublié de dire (en fait je n'ai pas oublié, c'est juste un petit effet de style). J'avais envoyé au cours de la semaine un message à l'Italienne, que j'avais rencontrée précédemment et qui avait demandé à ce qu'on me donne son numéro, si elle était sur Dublin ce soir-là. Pas de réponse. Bon tant pis. Revenons au début de l'épisode, sur la place de Temple Bar. Nous regardons pour la n-ième fois les mecs qui font du limbo et qui j'aperçois-je dans la foule? Évidemment, l'Italienne en question! Elle a l'air très contente de me revoir, on cause un peu et il apparaît qu'elle attend un groupe d'amis pour la soirée. Le mien étant sur le point de partir pour le pub russe, on convient de se rejoindre un peu plus tard. Mais suite à quelques problèmes logistiques et organisationnels, finalement on ne se retrouve pas. Elle m'envoie le lendemain un message comme quoi c'était dommage mais que ce n'est que partie remise. J'ai l'impression qu'elle a envie de passer un peu de temps avec moi cette jolie blondinette... À suivre.
La semaine se passe tranquillement. J'envoie juste un message à cette Italienne pour tenter de plannifier un truc ce week-end. Pas de réponse immédiate.
Vendredi soir (*ce* vendredi soir donc), soirée entre couilles. Les filles sont occupées ou ne répondent pas. Qu'à cela ne tienne, nous sommes allés boire un coup dans un pub pas loin de Grafton Street (rue commerçante pas loin de St Stephen's Green).
Samedi, après une journée productive à taper mon rapport de stage, on se retrouve avec l'une des filles du week-end dernier à Temple Bar (pour changer!). La fille qui a partagé ma couche et avec qui je comptais essayer de négocier un petit quelque chose doit nous rejoindre dans quelques temps. Nous l'attendons donc au premier étage du Fitzsimon's, étage qui fait "dancefloor" à partir de 23h. À un moment, je vois une fille s'approcher de notre groupe. Il s'agit en fait d'une connaissance de Raphaël, qui est ici pour une raison que j'ignore toujours à l'heure actuelle. Bigrement sympathique, elle est originaire de Nouvelle-Zélande, pas trop petite, brune, yeux marron, une peu rondelette mais juste ce qu'il faut à mon goût. On cause pas mal de trucs divers et variés. Un peu plus tard, ma "cible" se radine, accompagnée d'une amie à elle certainement, amie que je qualifierai gentiment de "massive". À un peu moins d'une heure du matin, mes camarades masculins décident de s'en aller, certainement pas très enthousiasmés par l'ambiance discothèque tels que je les connais. Entre finir ma soirée avec deux mecs et la continuer avec quatre filles, mon choix est rapide à faire. Je reste donc avec Anna (la Néo-Zélandaise) et les autres. On va danser un peu, puis on se perd un peu de vue avec les autres filles, ce qui fait que je reste en tête-à-tête avec Anna. Un poil plus tard, on va boire deux pintes au bar parce qu'il fait quand même soif à gueuler pour se faire entendre à cause de cette maudite musique. Arrivés à la moitié de notre cinquième pinte de la soirée, on décide d'aller encore danser un brin et puis finalement s'en aller parce que l'ambiance commence à redescendre (faut dire que les pubs "dansants" ferment à 3h, dont nous ne sommes pas très loin à ce moment de l'histoire). Une fois dehors, elle sort son téléphone et me demande mon numéro. Un peu émeché (elle aussi d'ailleurs), je colle mon front au sien pour surveiller qu'elle tape bien les bons chiffres. Une fois mon numéro enregistré, on se regarde brièvement et on s'embrasse, un peu en bons camarades me sens-je obligé d'ajouter.
Elle habite au peu au Sud de Dublin (au-delà du centre ville) et envisage de prendre un taxi pour rentrer. Mais à cette heure, les cabs libres sont rares et au bout de quelques échecs à en héler un, je lui dis, deux-points-z'ouvrez-les-guillemets : "Je sais que c'est certainement inapproprié, mais si tu veux, tu peux dormir chez moi." Forcément, elle hésite, mais je lui assure que je serai un parfait gentleman (ce que je pensais... cette fille est vraiment sympa). Elle accepte (grâce à ma gueule de gentil mais aussi grâce à la Guinness je suspecte), et nous v'là arrivés chez moi (le chemin du retour ne mérite pas d'être conté). On se couche (moi en caleçon, elle en culotte et avec son haut). Je joue effectivement mon gentleman en évitant de la tripoter aux zones sensibles et même en me retournant vers le mur histoire de montrer ma détermination à tenir parole, mais c'est finalement elle qui craque.
Le lendemain, elle repart vers 9h du matin, je l'accompagne (gentleman oblige) jusqu'à la rue principale près de chez moi et je passe un dimanche avec les yeux pleins de sommeil ce qui a beaucoup nuit à mes activités.
Je pense qu'on se reverra certainement ce week-end.
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